Mon premier imagier du Louvre

On ouvre l'album avec une tête fleurie. C'est «Le printemps» de Giuseppe Arcimboldo. En tournant les pages, on tombe sur un hippopotame en faïence bleue d'Egypte (du Moyen-Empire), un taureau ailé de l'Empire perse du V^e siècle avant J.-C., une coupe au musicien et à la danseuse provenant de Turquie (XVIII^e siècle) et même le sourire de la Joconde de Léonard de Vinci (XVI^e siècle). A travers ces quelques illustrations, on découvre les couleurs, les formes, quelques animaux, les chiffres et la vie simple du monde populaire. Et puis au-delà de cette première approche, il y a la découverte de quelque soixante chefs-d'oeuvre. C'est un album adapté aux mains curieuses des tout-petits. Dommage que les légendes des illustrations soient si petites...