Nicolas Poupon
Né en 1972 d’un père et d’une mère, Nicolas Poupon fête dès 1973 son premier anniversaire. Par la suite, il déçoit un peu et ne fait plus rien d’intéressant jusqu’à ses 19 ans. À cet âge, lui vient la grande pensée de sa vie : "Tant qu’à rien faire, autant faire quelque chose".
Il choisit le dessin.
Très vite il rêve d’art, mais finit par échouer lamentablement dans le monde de la Bande Dessinée. Après une première partie de carrière glorieusement intime, il cède aux sirènes du capitalisme mondialisé, et tente de signer avec tous les gros éditeurs qui croisent son chemin.
Il y parvient parfois.
Toujours en avance sur son temps, il décide, à peine sa trente-neuvième année passée, d’entamer sa crise de la quarantaine en fricotant à nouveau avec de petits éditeurs, aussi indépendants que peu fréquentables. Entretenant ainsi l’illusion de sa jeunesse perdue, il signe en 2011 "Fleur de géant" aux éditions Scutella, récidive fin 2012 avec "À la croisée", et s’apprête à sortir "Ici
Né en 1972 d’un père et d’une mère, Nicolas Poupon fête dès 1973 son premier anniversaire. Par la suite, il déçoit un peu et ne fait plus rien d’intéressant jusqu’à ses 19 ans. À cet âge, lui vient la grande pensée de sa vie : "Tant qu’à rien faire, autant faire quelque chose".
Il choisit le dessin.
Très vite il rêve d’art, mais finit par échouer lamentablement dans le monde de la Bande Dessinée. Après une première partie de carrière glorieusement intime, il cède aux sirènes du capitalisme mondialisé, et tente de signer avec tous les gros éditeurs qui croisent son chemin.
Il y parvient parfois.
Toujours en avance sur son temps, il décide, à peine sa trente-neuvième année passée, d’entamer sa crise de la quarantaine en fricotant à nouveau avec de petits éditeurs, aussi indépendants que peu fréquentables. Entretenant ainsi l’illusion de sa jeunesse perdue, il signe en 2011 "Fleur de géant" aux éditions Scutella, récidive fin 2012 avec "À la croisée", et s’apprête à sortir "Ici(s)" chez le même éditeur en janvier 2014.
La cure de jouvence lui serait, selon ses propres propos, fort profitable, mais on murmure dans le milieu que "bien plus en avance sur son temps qu’il ne le pense", il n’aurait déjà plus toute sa tête.
Signe aussi sous le pseudo de Pr. Michel.
Texte © Le Cycliste