Mon super-héros à moi !

Célestin, le héros de l’histoire, un petit garçon modeste, se rêve en super-héros. Et justement, il en reçoit un en cadeau d’anniversaire, Megamax. Celui-ci ressemble beaucoup à Superman, avec cape et étoile. Compagnon de jeu, modèle, il est pour l’enfant, un formidable moyen pour s’autoriser l’interdit : transformer sa chambre en terrain d’aventure, s’évader du quotidien. Mais tout comme l’enfant, Mégamax a besoin d’exploit. Pour sauver son ami de l’ennui, le petit garçon libère les animaux du zoo. Mégamax les sauve. Ils sont adoptés par Célestin et ses parents.

Il y a une certaine fantaisie dans ces aventures rocambolesques où l’enfant et le superhéros jouent à rôles renversés. Mégamax sauve Célestin de sa quotidienneté et Célestin offre un destin à Mégamax. Les portraits des personnages amusent. Le petit garçon avec sa mèche énorme, le superhéros avec son menton en galoche ont des allures sympathiques comme cet album sans prétention.