Je suis méchant

Un garçon seul n’aime pas l’école. Il tape sur tout le monde. Sa passion : les outils. Il rencontre Salvatore, devient son ami et lui apprend à lire et écrire. Après avoir lavé treize fois la voiture du voisin, il s’achète un lapin.
L’enfant est seul, triste, il ne veut aimer personne. Sa mère n’est presque jamais là. J’ai ressenti de la joie et de la tristesse.

C’est un roman de poche illustré façon « jeans » sur la couverture. L’auteur nous dit que si deux personnes sont dans la même situation, elles s’apprécient davantage. Les deux personnages principaux sont différents et arrivent à créer une amitié en se rencontrant chaque jour : arriveront-elles à s’apprécier longtemps ? Cette histoire parle de méchanceté, de générosité, d’amitié et d’échange et dit qu’il est difficile de changer la personnalité des gens.

Un petit garçon ne lève pas la tête pour qu’on ne voie pas ses yeux. A l’école, il dit n’importe quoi au psychologue. Tous les dimanches, comme il aime bricoler, il va au camion à outils. Il y rencontre Salvatore qui ne sait ni lire, ni écrire. Le garçon lui apprend. Ils se disputent mais redeviennent amis.
L’auteur nous dit que ce n’est pas parce qu’on est adulte qu’on doit tout savoir. Salvatore apprend à lire et écrire. J’ai ressenti de la tristesse pour lui (il vient d’un autre pays). A la sortie de l’école, Salvatore se dispute avec le garçon et il se retrouve tout seul. J’ai ressenti de la colère aussi. Les personnages sont émouvants. Le narrateur est le petit garçon, le héros de cette histoire. Il y a peu d’illustrations, en noir et blanc, mais elles permettent de se faire une idée sur les personnages et les situations décrites.

A l’école, un garçon méchant et bagarreur fait semblant de ne rien comprendre.
Le psychologue vient lui parler de son attitude. Le garçon travaillait pour s’acheter des outils car il adore le bricolage. Au bout de douze lavages de voiture, on lui donne un lapin. Il décide de s’acheter une scie mais un vieux monsieur, Italien à la retraite, Salvatore achète la dernière. Il ne sait ni lire, ni écrire. Il décide de lui revendre la scie et de venir chez lui pour fabriquer la cage du lapin. Le garçon aide Salvatore à lire et à écrire. Mais un jour, il décide de ne plus aller chez lui.
<br>Je n’ai pas trop aimé ce roman aux phrases simples, avec de l’humour. Je préfère les histoires où il y a plus de personnages.