Dite, vous n'auriez pas vu mon ours

J’ai bien aimé ce livre parce j’étais contente que les Schimzech aient eu peur de l’ours, que l’auteur demandait toujours des nouvelles de son ours et aussi à cause du personnage qui garde l’ours. Les illustrations sont faites à la peinture mais ne ressemblent pas à la réalité. L’auteur a voulu dire que lorsqu’on critique, il faut penser à ce que l’on dit.

Dîtes, vous n’auriez pas vu mon ours ? Si ça continue, je vais devoir jeter mon histoire au feu ! Je trouve mon ours un peu susceptible ! Bon d’accord, au début, je me suis un peu amusé ! Mais quand même ! Si vous le voyez, donnez de ses nouvelles, c’est moi qui l’ai inventé ! Si je n’étais pas là, il n’existerait pas, mon ours ! J’ai bien aimé ce livre car l’auteur s’adresse directement au lecteur. Il y a beaucoup de passages et d’illustrations humoristiques. Les rencontres aussi m’ont plu, surtout avec la famille Schimzeck ! J’ai adoré la fin, car l’auteur fait comprendre que l’ours revient sans nous le dire réellement. Par contre, j’ai trouvé ce livre un peu court.

Un écrivain veut faire un livre qui parle de son ours. Celui-ci vivait paisiblement mais un jour la famille Schimzeck vient lui rendre visite en disant que les vrais ours vivent dans la forêt. Il décide alors de s’enfuir mais se rend compte qu’il est le seul ours à vivre dans cette forêt ! L’écrivain a perdu le héros de son histoire et le cherche partout : il intervient plusieurs fois dans l’histoire ce qui met de l’action. Les illustrations poussent à continuer la lecture de ce roman pas très réaliste.