Le jour où j'ai perdu mon temps

C’est une histoire à la Raymond Devos, où l’on pourra jouer autant avec les mots qu’avec les sons. Ici Agnès de Lestrade a pris au pied de la lettre l’expression « perdre son temps » et nous convie à sa recherche en compagnie d’un jeune héros au costume bleu. Car à l’évidence, perdre son temps est angoissant et met dans l’embarras. Notre héros ne sait plus quoi faire et en désespoir de cause met une petit annonce à l’épicerie. Les heures passent et toujours rien. Heureusement, un passant semble l’avoir retrouvé et demande en échange une récompense. Le jeune homme lui promet sa montre de valeur. Mais le temps s’évanouit bien vite… et la fin de cette histoire pourra être dramatique ou frivole, c’est selon. Une histoire amusante servie ici par des illustrations aérienne et surréaliste de Julie Ricossé qui nous fait croire à un univers enchanté et végétal où les fleurs de transforment en horloge, les chouettes en a-bas jour et les hommes en papillon.