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Date de publication
Age-cible

Samir et Jonathan

Roman
à partir de 11 ans
4.80
euros

L'avis des internautes

Les avis exprimés ci-dessous n'engagent que leurs auteurs
le 06/07/2010 16:48

Un très beau livre qui témoigne bien du monde dans lequel nous vivons! Toutes mes félicitations à Daniella Carmi qui, avec ce livre, nous met face à face avec la réalité!

le 06/17/2008 11:03

Samir est un jeune palestinien qui s’est cassé le genou à vélo. Opéré dans un hôpital israélien, tout le sépare des enfants de sa chambre. Personne ne lui parle ni ne joue avec lui, sauf Jonathan passionné par l’astronomie. Chaque nuit, il lui raconte son livre et ses rêves. Puis un autre enfant, Tsahi, dont le frère est soldat, joue avec lui.
Je pense que l’auteur nous dit que quelles que soient la couleur de la peau, la religion ou la nationalité, on peut vivre ensemble et joyeusement. Ce roman m’a fait réfléchir et comprendre. J’ai souvent ressenti de la tristesse et ai eu des difficultés quand il y a des retours dans le passé. L’auteur a un ton doux et triste. Il y a aussi quelques descriptions.

Ce livre ne m’a pas plu car il y a trop de détails et pas d’action. Aucun événement ne donne l’envie d’aller plus loin dans le livre.

Samir, Jonathan et leurs trois camarades nous donnent une formidable leçon de tolérance en nous montrant qu’on peut surmonter les difficultés, les incompréhensions et les peurs en apprenant à vivre ensemble. Petit à petit, les enfants commencent à se parler et à s’écouter. Samir devient ami avec Jonathan qui l’entraîne dans ses lointaines galaxies et rêves. Il va se sentir plus proche de lui que de son frère Fadi tué par des Israéliens.
Ce livre m’a apporté des informations réelles sur la vie des enfants dans les pays en guerre. Je me suis rendu compte que j’avais beaucoup de chance de vivre dans un pays riche et en paix. J’ai réalisé, à travers Samir, que la guerre n’apporte que la souffrance et la haine.

Ce roman témoigne bien des difficultés rencontrées au quotidien lorsque la guerre sépare deux peuples. Les enfants savent s’adapter et nouer des amitiés : c’est ce qui m’a plu. J’aimerais que les adultes fassent comme eux.

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