Ysoline. Comme un poisson dans l'eau

Cette BD est humoristique car Ysoline est très heureuse, à la fois drôle et sérieuse. J’apprécie qu’elle aide sa maman à passer une annonce dans le journal pour trouver un mari. Les déclarations d’amour de Yoyo à Ysoline m’ont touché : elle le prend assez bien.

J’ai beaucoup aimé les dessins de Thierry Murat car ils sont drôles.
Je pense que cette Bd mérite d’être lue lorsqu’on ne sait pas ce que c’est qu’être enfant unique et enfant de parents divorcés. Je le conseille aux parents et enfants qui aiment la découverte.

Plusieurs petites histoires tendres et humoristiques racontent la vie des enfants d’aujourd’hui, dans un pays comme le notre, avec leurs malheurs ou bonheurs. Elles sont proches du réel, courtes, avec un seul évènement. Le style des dialogues est familier.
C’est simple et attachant. J’ai pris plaisir à le lire et le relire. C’est parfois tellement ressemblant à ma vie quotidienne que j’ai retrouvé certaines de mes qualités ou même de mes défauts. Les illustrations sont simples comme les décors, les fonds assez sombres pour mieux faire ressortir les personnages. Ysoline est sympathique, tendre avec ses parents, espiègle et très sociable.

J’ai beaucoup aimé cette BD car elle m’a fait rire et m’a appris des choses. L’illustrateur a bien respecté les formes géométriques. Chaque page est composée d’une histoire. Ma préférée est « Nounours » car elle dit que même si on devient grand, au fond de nous on est toujours petit.

Cette BD raconte en plusieurs histoires la vie d’Ysoline mais je n’en vois pas l’intérêt. J’ai apprécié quand elle explique à ses parents que l’avenir est important.

Je trouve bizarre qu’un enfant dont les parents sont divorcés soit aussi nature ! Soit Ysoline le prend bien, soit elle préfère ne pas y penser. J’opterai qu’elle le prend bien : elle doit se dire que c’est génial. Les illustrations ont une majorité de couleurs sourdes (gris, orange et bleu-gris). Les personnages ont des grosses têtes par rapport à leur corps. Sur la première de couverture, Thierry Murat a bien représenté Ysoline qui sourit quand il pleut. Avec son parapluie elle est contente et a l’impression qu’elle est « comme un poisson dans l’eau ».

Ysoline est dure et pleine de joie. A la fin de la BD, que j’ai adorée, on connaît son caractère. Thierry Murat dessine très bien, il y a un mélange de joie et de tristesse. Cet album est pour tous les enfants, même si quelques moments sont difficiles à comprendre.

J’ai surtout aimé les illustrations où les personnages ont des grosses têtes par rapport à leur corps : on perçoit bien leur caractère et leur humeur sans lire l’histoire.

Le père, architecte, s’est retrouvée une femme : Brigitte Marie (surnommée BM par Ysoline…). La mère, esthéticienne enchaîne les échecs avec les hommes. Yoyo est amoureux d’Ysoline. C’est son meilleur ami avec Candy.
Deux couleurs ressortent dans cette BD : le gris, et l’orange. Sur la couverture les couleurs du parapluie sont gaies et montrent la joie. Je pense que l’auteur essaie de nous dire que même s’il pleut ou il neige on peut quand même être heureux. J’ai compris en lisant qu’il faut vivre à fond chaque seconde et surtout être à l’aise avec tout le monde. Je n’ai pas eu trop de difficulté à lire cette BD mais elle me posait encore des questions qui me trottinaient dans la tête. Le style de l’auteur : être, penser comme les enfants, être malin.

Ysoline, une petite fille maligne et drôle, dont les parents sont séparés, aime tout le monde. Elle a un grand cœur et est très imaginative. Thierry Murat dessine des grosses têtes ce qui est le plus important pour les expressions du visage.