Guy Béart
Le travail de son père, comptable participant à la création d'entreprises, nécessitant des déplacements fréquents, Guy Béart grandit dans différentes villes d'Europe et du Mexique avant de se fixer au Liban, où il suit la majorité de ses études, entre dix et dix-sept ans, âge auquel il part pour Paris.
Inscrit à l'École Nationale de Musique (il y joue de nombreux instruments : violon, mandoline), il est parallèlement accepté au lycée Henri-IV (classes préparatoires maths sup et maths spé) puis reçu à l'École nationale des ponts et chaussées, d'où il sort avec un diplôme d'ingénieur.
Guy Béart se lance dans la chanson à partir de 1954, dans les cabarets parisiens de la Rive gauche, notamment La Colombe de Michel Valette ou Les Trois Baudets de Jacques Canetti qui le fait signer sur son label de musique Philips en 1957. Il y chante le Bal chez Temporel, dont les paroles sont de l'écrivain André Hardellet. Ce premier succès lui apportera, dès 1958, le Grand Prix du disque de l'Académie
Le travail de son père, comptable participant à la création d'entreprises, nécessitant des déplacements fréquents, Guy Béart grandit dans différentes villes d'Europe et du Mexique avant de se fixer au Liban, où il suit la majorité de ses études, entre dix et dix-sept ans, âge auquel il part pour Paris.
Inscrit à l'École Nationale de Musique (il y joue de nombreux instruments : violon, mandoline), il est parallèlement accepté au lycée Henri-IV (classes préparatoires maths sup et maths spé) puis reçu à l'École nationale des ponts et chaussées, d'où il sort avec un diplôme d'ingénieur.
Guy Béart se lance dans la chanson à partir de 1954, dans les cabarets parisiens de la Rive gauche, notamment La Colombe de Michel Valette ou Les Trois Baudets de Jacques Canetti qui le fait signer sur son label de musique Philips en 1957. Il y chante le Bal chez Temporel, dont les paroles sont de l'écrivain André Hardellet. Ce premier succès lui apportera, dès 1958, le Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros. Il sera suivi de nombreux autres, comme L'Eau vive et Qu'on est bien (1958), Les Grands Principes (1965), Le Grand Chambardement (1967), La Vérité (1968), devenus des classiques. Puis il enregistre deux albums de chansons françaises traditionnelles, dont Vive la rose. Il écrit pour de nombreux artistes(Patachou, Zizi Jeanmaire, Juliette Gréco, qui chante Chandernagor et Il n'y a plus d'après).
Devenu producteur et animateur sur la première chaîne de télévision française, dans son émission de talk show Bienvenue chez Guy Béart.