Sophie Rozenn Boucher
Née au Cameroun d'une maman française et d'un papa québécois, Sophie habite maintenant l'Estrie entourée d'arbres et d'enfants. À huit ans, Sophie a deux rêves. Celui de devenir enseignante et celui d'illustrer des livres pour enfants.
En 1997, elle complète des études en éducation à l'Université d'Ottawa. Pendant quelques années, Sophie enseigne à des élèves de 3 à 14 ans. Ce qui distingue son approche? Des aquarelles géantes pour apprendre les mathématiques, des pots de gouache qui ne demandent qu'à être ouverts afin de récompenser les bons coups, de la pâte à modeler qui n'a jamais le temps de sécher.
Mais le rêve de devenir illustratrice refait surface et un choix s'impose. Afin de parfaire ses connaissances en arts visuels, elle retourne sur les bancs d'école, cette fois-ci à l'Université Bishop's. En 2007, elle devient membre professionnelle d'Illustration Québec et se lance dans le monde de l'entrepreneuriat. Le téléphone sonne, les contrats se succèdent et enfin un premier
Née au Cameroun d'une maman française et d'un papa québécois, Sophie habite maintenant l'Estrie entourée d'arbres et d'enfants. À huit ans, Sophie a deux rêves. Celui de devenir enseignante et celui d'illustrer des livres pour enfants.
En 1997, elle complète des études en éducation à l'Université d'Ottawa. Pendant quelques années, Sophie enseigne à des élèves de 3 à 14 ans. Ce qui distingue son approche? Des aquarelles géantes pour apprendre les mathématiques, des pots de gouache qui ne demandent qu'à être ouverts afin de récompenser les bons coups, de la pâte à modeler qui n'a jamais le temps de sécher.
Mais le rêve de devenir illustratrice refait surface et un choix s'impose. Afin de parfaire ses connaissances en arts visuels, elle retourne sur les bancs d'école, cette fois-ci à l'Université Bishop's. En 2007, elle devient membre professionnelle d'Illustration Québec et se lance dans le monde de l'entrepreneuriat. Le téléphone sonne, les contrats se succèdent et enfin un premier livre est publié. Puis un deuxième, et un troisième... c'est le bonheur! Tout naturellement, elle privilégie l'aquarelle pour sa transparence et crée des images empreintes de douceur et de sensibilité.
En 2008, Sophie remporte le prix Jeune Entreprise de l'année décerné par le regroupement Génération Avenir. En 2009, elle est la gagnante du Prix Distinction Travailleur autonome de l'année décerné par la Chambre de Commerce Haute-Yamaska et Région.