Alcante
Très jeune, Alcante - de son vrai nom Didier Swysen - est plongé dans la marmite de la bande dessinée : ses parents étaient abonnés à Spirou, et c'est notamment à travers les premières aventures de Papyrus, de Lucien De Gieter, que Didier apprend à lire. Pendant ses humanités à Louvain-la-Neuve, il rencontre, au Lycée Martin V, un professeur de français, du nom de Kira Rahir, qui développe son envie d'écrire.
Il se tourne cependant tout d'abord vers des études en sciences économiques. Après ses cinq années (licence et maîtrise) à l'Université catholique de Louvain-la-Neuve (réussies avec grande distinction), il est engagé comme chercheur à l'Université d'Anvers pendant quatre ans. Il est ensuite engagé dans une grande entreprise publique, avant de devenir conseiller au cabinet d'un vice-Premier ministre.
Parallèlement, il débute lentement mais sûrement en tant que scénariste. En 1995, il remporte ainsi un concours de scénario supervisé par Raoul Cauvin et il voit ainsi sa première
Très jeune, Alcante - de son vrai nom Didier Swysen - est plongé dans la marmite de la bande dessinée : ses parents étaient abonnés à Spirou, et c'est notamment à travers les premières aventures de Papyrus, de Lucien De Gieter, que Didier apprend à lire. Pendant ses humanités à Louvain-la-Neuve, il rencontre, au Lycée Martin V, un professeur de français, du nom de Kira Rahir, qui développe son envie d'écrire.
Il se tourne cependant tout d'abord vers des études en sciences économiques. Après ses cinq années (licence et maîtrise) à l'Université catholique de Louvain-la-Neuve (réussies avec grande distinction), il est engagé comme chercheur à l'Université d'Anvers pendant quatre ans. Il est ensuite engagé dans une grande entreprise publique, avant de devenir conseiller au cabinet d'un vice-Premier ministre.
Parallèlement, il débute lentement mais sûrement en tant que scénariste. En 1995, il remporte ainsi un concours de scénario supervisé par Raoul Cauvin et il voit ainsi sa première planche publiée dans l'hebdomadaire Spirou. À partir de 2002, ses histoires courtes sont régulièrement publiées dans ce magazine. Afin d'éviter toute confusion avec son cousin Bernard Swysen (auteur de BD), il adopte alors le pseudonyme d'Alcante, composé des premières syllabes des prénoms de ses enfants : Alexandre et Quentin.
Alcante reconnaît avoir été marqué par les Contes et Légendes de tous pays, qu'il a dévorés étant enfant, ainsi que par quelques grands scénaristes, comme Van Hamme, Cothias, Makyo et Alan Moore. Outre la bande dessinée (y compris les mangas), ses centres d'intérêt sont le cinéma, les séries télé, les jeux de rôle, le sport, les voyages... et la politique ! Il vit actuellement à Bruxelles avec son épouse et ses deux enfants. Depuis septembre 2008, il ne vit plus que de l'écriture de scénario. Il a actuellement une douzaine d'albums « sur le feu ». Son rêve est de pouvoir un jour écrire pour le cinéma.