João Vaz de Carvalho
João Vaz de Carvalho est né en 1958 au Portugal, où il réside encore aujourd’hui. C’est au début des années 80 qu’il se forme auprès du peintre et sculpteur Vasco Berardo, pour ensuite se consacrer entièrement à la peinture et à l’illustration. Il a participé à des dizaines d’expositions individuelles ainsi qu’à plusieurs foires d’art contemporain. Il travaille actuellement avec la galerie Trema Arte Contemporânea à Lisbonne. Parallèlement, il collabore régulièrement pour la presse portugaise et a illustré plusieurs dizaines d’albums, publiés au Portugal et à l’étranger. Ses personnages, à la fois drôles et étonnants, ont remportés plusieurs prix, dont le premier prix Ilustrarte (Portugal, 2005), le Golden Pen of Belgrade Award (Serbie, 2009 et 2013), le prix Photographie et illustration des arts appliqués (Canada, 2018), pour ne citer que ceux-là.
Profondément et durablement marqué par son enfance (les odeurs, le bruit de la neige qui tombe, les jeux avec son frère et sa sœur dans
João Vaz de Carvalho est né en 1958 au Portugal, où il réside encore aujourd’hui. C’est au début des années 80 qu’il se forme auprès du peintre et sculpteur Vasco Berardo, pour ensuite se consacrer entièrement à la peinture et à l’illustration. Il a participé à des dizaines d’expositions individuelles ainsi qu’à plusieurs foires d’art contemporain. Il travaille actuellement avec la galerie Trema Arte Contemporânea à Lisbonne. Parallèlement, il collabore régulièrement pour la presse portugaise et a illustré plusieurs dizaines d’albums, publiés au Portugal et à l’étranger. Ses personnages, à la fois drôles et étonnants, ont remportés plusieurs prix, dont le premier prix Ilustrarte (Portugal, 2005), le Golden Pen of Belgrade Award (Serbie, 2009 et 2013), le prix Photographie et illustration des arts appliqués (Canada, 2018), pour ne citer que ceux-là.
Profondément et durablement marqué par son enfance (les odeurs, le bruit de la neige qui tombe, les jeux avec son frère et sa sœur dans le jardin de l’immense maison de son grand-père, le goût de ses proches pour la peinture et la musique, etc.), il a choisi de faire (re)vivre ces plaisirs chaque jour, de les cultiver avec ses crayons et ses pinceaux, sans nostalgie.