Dans le jardin des reines

J’ai été joyeuse en lisant ce livre, et ai eu l’impression de voyager dans le temps.

J’ai trouvé que les images sont un peu vulgaires.

Ce livre est dédicacé aux reines de tout type. Elles portent des tenues gaies, amusantes. Elles font leurs courses en grande tenue, caressent la lune, font du ménage, sont toujours en action, parfois en colère, joyeuses, amoureuses. Ce sont les reines des temps modernes.
Cet album ne m’a pas captivé car il est difficile à comprendre. Les mots jouent sur le sens et la forme. Cependant les illustrations sont très gaies, les dessins attrayants. On y décrit le comportement des adultes.

Jean-Pierre Blanpain a fait un très beau recueil de poésies humoristiques, avec des jeux de mots. Les illustrations sont très colorées, dessinées avec humour et très originales. Dans une poésie, la reine Marguerite sort de sa poche un flacon qui contient ses larmes avec lequel elle arrose son jardin secret.

Cet album, aussi grand que le torse d’un enfant, est un recueil de poésies. L’auteur nous fait découvrir des reines de toutes sortes, des personnages drôles, historiques ou imaginaires, très excentriques. Iréne, la reine des la fête foraine, préfère jouer avec son Dédé. Marie de Montmirail est un vrai pirate, elle a perdu un bras et un œil. Madame Attila, un vrai Hun n’est pas comme son mari. Le grand vizir voulait faire une Diva de la reine de son harem, mais elle ne veut être que la reine des chœurs royaux et non du cœur royal ! C’est la révolution : la reine Mariette doit laver ses cent culottes !
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre, car l’auteur fait de l’humour avec des jeux de mots. Les illustrations très colorées apportent de la joie.

Cet album décrit des reines différentes de celles de la réalité, qui ont chacune leur spécialité. L’illustratrice a bien confectionné leurs portraits : Mme Attila est sévère, la reine Marguerite a des dentelles en forme de pétales. Elle nous fait rire à dessiner des reines toutes nues. Certaines reines sont masculines.
Il y a quinze poésies et quatorze descriptions. La sixième fait penser à la comptine « Au clair de la lune ». Les étoiles dans le ciel forment deux ours. J’aime bien l’histoire où deux reines jouent aux dames sur un éléphant car je n’ai jamais vu ça. Et aussi la reine Mariette XV qui ne veut pas laver ses cent culottes lors du chômage des travailleurs.