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Age-cible

Une amitié secrète

Roman
à partir de 10 ans

L'avis de Ricochet

Un roman lourd entre cruauté des adolescents et remords. Rafaëla entre au collège et est rejetée par tout le monde. Trop grosse, trop différente, la jeune fille vit mal les boutades des autres élèves. Malgré cela, une amitié secrète naît entre Lucy et Rafaëla. Heureuse, Rafaëla annonce à Lucy une surprise au retour des vacances de Noël. Mais à leur retour, Rafaëla n’est plus là. Elle est morte lors d'une chirurgie esthétique pour se faire recoller les oreilles et échapper à son surnom. Lucy est consternée et se sent responsable, voire coupable. Elle se consolera en découvrant que leur amitié était sincère et partagée. Un récit bien mené, matière à réflexion.

L'avis des internautes

Les avis exprimés ci-dessous n'engagent que leurs auteurs
le 01/22/2007 18:55

Contrairement à ce que dit Amélie Lucie n'ai pas hypocrite elle fait référence à ces défauts car elle ne l'a connaît pas par contre Lucie devait être plus gentille!Je trouve que quand même on exagère de plus en plus sur leur défaut faut arrêter!C'est dommage que ce soit une histoire vraie car dire mais c'est aussi bien pour la moralité !

Raphaëla est une petite fille très malheureuse à cause de ses oreilles mais surtout à cause du regard des autres et leur indifférence pour elle. Elle vient de rencontrer Lucy, qui la traite de « chou-fleur » devant tout le monde. Elle ne sait pas ce qui lui a pris de parler ainsi mais Raphaëla n’est pas rancunière et va faire d’elle sa meilleure amie et lui annonce avant les vacances de Noël qu’elle va avoir une sacrée surprise.
Les illustrations de J. Cockcroft sont presque réelles. C’est une histoire fantastique, pleine de peine, d’amitié, de bonheur, de culpabilité, de sentiments : tout ce mélange fait la beauté de l’histoire. J’ai été touchée par le caractère de Raphaëla, courageuse et pas rancunière. Par contre, Lucy était injuste et hypocrite envers elle. Mais au début et vers la fin elle comprend la morale et fait preuve d’un grand courage en allant voir les parents de Raphaëla. A mon avis, l’auteur voulait dire « ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse ».

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