Elsa Ohana
Elsa Ohana pratique le dessin à l’Atelier du centre Pompidou toute son enfance. Elle passe un bac littéraire Arts platiques, apprend à manifester et à cultiver son regard. Après une hypokhâgne, khâgne en Esthétique et Histoire des arts, elle voyage ensuite au Burkina Faso, Suède, Pologne où elle mène des ateliers d’arts plastiques et noircit les pages de carnets.
Diplômée d’un Master d’arts plastiques en 2008, elle obtient les concours du CAPES et de l’agrégation, ce qui l’amène à enseigner les arts plastiques et à mettre en oeuvre des formations pour l’Éducation nationale. En 2010, elle part travailler en Guadeloupe, où la question de la créolité vient nourrir son travail personnel et enrichir son regard. À Pointe-à-Pitre, elle participe à un projet de création déambulatoire en espace public avec la Cie Les Gran Bwa bwa en tant que comédienne/plasticienne. Corps fragmentés, formes insulaires… tout est là.
Un nouveau voyage vers l’Ardèche en 2012 l’amène à fréquenter les ateliers de
Elsa Ohana pratique le dessin à l’Atelier du centre Pompidou toute son enfance. Elle passe un bac littéraire Arts platiques, apprend à manifester et à cultiver son regard. Après une hypokhâgne, khâgne en Esthétique et Histoire des arts, elle voyage ensuite au Burkina Faso, Suède, Pologne où elle mène des ateliers d’arts plastiques et noircit les pages de carnets.
Diplômée d’un Master d’arts plastiques en 2008, elle obtient les concours du CAPES et de l’agrégation, ce qui l’amène à enseigner les arts plastiques et à mettre en oeuvre des formations pour l’Éducation nationale. En 2010, elle part travailler en Guadeloupe, où la question de la créolité vient nourrir son travail personnel et enrichir son regard. À Pointe-à-Pitre, elle participe à un projet de création déambulatoire en espace public avec la Cie Les Gran Bwa bwa en tant que comédienne/plasticienne. Corps fragmentés, formes insulaires… tout est là.
Un nouveau voyage vers l’Ardèche en 2012 l’amène à fréquenter les ateliers de gravure de l’ESAD à Valence et à affiner sa démarche plastique autour des micros récits du féminin et de la mémoire. Aujourd’hui, elle est artiste résidente du collectif du château de Verchaus où elle passe la moitié de son temps à faire apparaître des images sous presse.