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Date de publication
Age-cible

Dans les forêts de la nuit

Roman
à partir de 11 ans
4.80
euros

L'avis de Ricochet

Réédition Ce roman a été édité en 1996 dans la collection Pleine Lune chez Nathan. Ce que préfère par dessus-tout Benjamin, c’est le jardin zoologique qu'il traverse deux fois par jour. Benjamin, un jeune garçon solitaire y observe les animaux et est touché par le traitement réservé aux pensionnaires. Mais lorsqu’il voit pour la première fois la tigresse de Sibérie, il est parcouru par une émotion unique. Puis lui vient l’idée de libérer le fauve pour le ramener sur ses terres natales. Aidé d’un gardien et de son ami Rodolphe, Benjamin sort la tigresse de sa cage et part avec elle et un ara insolent pour un long voyage. De forêts en forets, ils traversent des atmosphères, des ombres, des hommes, des paysages, jusqu'à l'épuisement. Là alors, leur route se sépare, mais l'adieu est pour plus tard. Un bon roman d’initiation en pleine nature, entre survie et quasi-animalité. Force intérieure tout comme résistance physique mèneront le lecteur dans cette quête un peu folle pour rendre un animal à son environnement naturel.

L'avis des internautes

Les avis exprimés ci-dessous n'engagent que leurs auteurs
le 06/17/2008 10:53

Dans ce roman, N. Garrel nous dit que quand on aime quelqu’un, on veut tout faire pour l’aider. Benjamin souhaite ramener la tigresse en Sibérie pour qu’elle retrouve la liberté et ses habitudes. On devine que Benjamin a besoin d’amitié et recherche l’affection des animaux pour combler l’absence de son père et de sa sœur.
Ce livre a une fin ouverte : on peut imaginer la suite à notre façon, en se posant les questions : Benjamin retournera-t-il en Sibérie ? Reverra-t-il la tigresse ? et Olia ?
Ce roman m’a fait rêver. L’amour que Benjamin porte à la tigresse lui fait entreprendre une aventure surprenante ; il parcourt une longue distance pleine de dangers puis est recueilli par des habitants.
Le style de l’auteur est de beaucoup décrire le caractère des personnages, les paysages… si bien qu’il n’y a presque pas de dialogues. Un exemple, quand N. Garrel décrit la tigresse « Rayée de noir, rousse, la poitrine et les joues d’un blanc neigeux, immense, elle se tenait à demi couchée, avec une superbe et inconsciente élégance ».
Les traits des illustrations sur fond blanc sont faits au fusain. Très bien travaillés, cela donne quand on les touche une impression rugueuse. Les images des paysages et des personnages permettent au lecteur de les imaginer.

le 06/17/2008 10:53

Benjamin découvre une magnifique tigresse de Sibérie dans un jardin zoologique. Elle commence à se laisser mourir. Il décide de la ramener chez elle, accompagné d’un ara. Ils traversent les forêts, les montagnes, les plaines marécageuses. Un jour il se réveille dans une maison et se réhabitue aux gestes quotidiens. Il a laissé la tigresse dans la forêt. L’ara vieillit, trop vieux pour continuer le voyage. Benjamin le laisse dans la maison, et il rentre chez lui, heureux.
Les illustrations sont superbes, surtout celle de la première de couverture. Il y a des moments où les vivants et les morts se mélangent, comme dans un rêve. Miles Hyman dessine en faisant les détails très précisément. Il représente bien la tigresse, décrite magnifiquement par l’auteur.

le 04/24/2007 07:36

Ce livre est génial

le 01/05/2007 10:14

il est trés bien

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