Antonio Fischetti
Tout petit, Antonio lit deux journaux : Pif Gadget, à cause de Rahan, et Charlie Hebdo, que ses sœurs étudiantes rapportent à la maison. Adolescent, il découvre les femmes nues avec Hara-Kiri. Pas trop mauvais en maths, il se lance en fac de sciences. En même temps, le journalisme le titille. Il crée Intercours, fanzine vendu à la sortie du restaurant universitaire (trois numéros), et rédige des piges dans le journal nantais La Tribune de Loire-Atlantique.
Pour entrer le plus tard possible dans ce qu’on appelle le monde du travail, Antonio reste le plus longtemps possible à la fac, ce qui le mène à un doctorat d’acoustique (consacré aux critères de qualité des salles de concert). De là, il est enseignant-chercheur au Conservatoire national des arts et métiers et donne des cours d’acoustique aux élèves ingénieurs du son des écoles de cinéma (Louis-Lumière, Femis).
Mais, un jour, changement de route : Antonio bifurque dans le journalisme. Il devient rédacteur en chef adjoint des numéros
Tout petit, Antonio lit deux journaux : Pif Gadget, à cause de Rahan, et Charlie Hebdo, que ses sœurs étudiantes rapportent à la maison. Adolescent, il découvre les femmes nues avec Hara-Kiri. Pas trop mauvais en maths, il se lance en fac de sciences. En même temps, le journalisme le titille. Il crée Intercours, fanzine vendu à la sortie du restaurant universitaire (trois numéros), et rédige des piges dans le journal nantais La Tribune de Loire-Atlantique.
Pour entrer le plus tard possible dans ce qu’on appelle le monde du travail, Antonio reste le plus longtemps possible à la fac, ce qui le mène à un doctorat d’acoustique (consacré aux critères de qualité des salles de concert). De là, il est enseignant-chercheur au Conservatoire national des arts et métiers et donne des cours d’acoustique aux élèves ingénieurs du son des écoles de cinéma (Louis-Lumière, Femis).
Mais, un jour, changement de route : Antonio bifurque dans le journalisme. Il devient rédacteur en chef adjoint des numéros hors série de la revue Science et Avenir. Sauf que le week-end il lit Charlie Hebdo. Alors, l’idée lui vient d’y proposer ses services. Et donc, nouvelle bifurcation.
Quoique toujours ouvert à la science, il aime à s’en échapper et apprécie son statut de SRF (Sans Rubrique Fixe), qui lui permet d’écrire sur les sujets les plus divers au gré de ses envies. Un parcours qu’Antonio aime à résumer ainsi : « Je suis passé de la science pure et dure à la science impure et molle, puis au journalisme scientifique et enfin au journalisme tout court. »