Nathalie Ferlut
Nathalie Ferlut est née le 26 novembre 1968, à Sète. Elle réside en Haute-Savoie. Elle passe un baccalauréat arts plastiques à Nîmes puis arrive à l’école des Beaux-Arts d’Angoulême, où elle commence par fréquenter l’atelier BD, avant d’obtenir en 1993 un diplôme de maquettiste. Après un passage dans diverses entreprises de dessin animé, elle vient rejoindre les rangs de ceux qui veulent faire de la bande dessinée leur avenir, pour le meilleur et pour le pire ! Scénariste d’une mini-série de science-fiction, Ether Glister, dessinée par Yoann, puis par Thierry Leprévost, elle prête ensuite son dessin à L’histoire de madame la Lune, un album pour enfants, écrit par Jean-Luc Loyer. Elle a aussi réalisé (scénario et dessin) l’adaptation très personnelle d’un roman médiéval, Le bel inconnu, en deux tomes (Carabas,2004 et 2005). Avec Lettres d’Agathe (Delcourt) elle laisse exprimer tout son talent d’auteure complète. Elle signe également Ève sur la balançoire et Andersen (Casterman) et plus
Nathalie Ferlut est née le 26 novembre 1968, à Sète. Elle réside en Haute-Savoie. Elle passe un baccalauréat arts plastiques à Nîmes puis arrive à l’école des Beaux-Arts d’Angoulême, où elle commence par fréquenter l’atelier BD, avant d’obtenir en 1993 un diplôme de maquettiste. Après un passage dans diverses entreprises de dessin animé, elle vient rejoindre les rangs de ceux qui veulent faire de la bande dessinée leur avenir, pour le meilleur et pour le pire ! Scénariste d’une mini-série de science-fiction, Ether Glister, dessinée par Yoann, puis par Thierry Leprévost, elle prête ensuite son dessin à L’histoire de madame la Lune, un album pour enfants, écrit par Jean-Luc Loyer. Elle a aussi réalisé (scénario et dessin) l’adaptation très personnelle d’un roman médiéval, Le bel inconnu, en deux tomes (Carabas,2004 et 2005). Avec Lettres d’Agathe (Delcourt) elle laisse exprimer tout son talent d’auteure complète. Elle signe également Ève sur la balançoire et Andersen (Casterman) et plus récemment Artémisia, sur l'incroyable destin de la première femme peintre reconnue par l'Académie, pour laquelle elle retrouve Tamia Baudouin au dessin (Delcourt, 2017).