Ayant parmi ses ancêtres des pirates hollandais, des vikings suédois, des éleveurs lapons, une esclave africaine du Surinam et deux adorables grand-mères, Nicolas Dik tente de perpétuer cet héritage génétique hétéroclite. Inventeur farfelu, il bricole de drôles d’instruments avec tout ce qu’il trouve, invente des machines qui ne servent à rien, compose de jolies mélodies, raconte de belles histoires et crayonne à tout va.
Diplômé de l’École Cantonal d’Art de Lausanne, il enseigne les arts visuels à de joyeux adolescents (enrichissante expérience d’éthologie...).
Il fait partie de La compagnie de la pie qui chante.