Fille de peintre abstrait, Pauline a dû très tôt se rendre à l'évidence : la peinture « ça parle », encore faut-il en connaître la langue ! Alors « entendre » et ensuite « raconter » la peinture est devenu une manie. D'abord auprès des copines de classe, quant elles venaient à la maison, puis dans les musées comme conférencière, puis dans les écoles d'arts appliqués et à ce jour, auprès de chefs d'entreprise aussi démunis parfois que ses copines de classe devant Un carré blanc sur fond blanc.