Lecteur assidu d’Alexandre Dumas, Arnaud Friedmann développe très tôt sa double passion pour l’histoire et la littérature. Après une prépa littéraire, il se spécialise en histoire contemporaine. Son sujet de mémoire porte d’ailleurs sur l’histoire de l’immigration cambodgienne dans le Doubs et puise ses sources dans les archives du père Claude Gilles qui a favorisé et accompagné pendant deux décennies l’accueil des réfugiés du Sud-Est asiatique. Auteur de sept romans et recueils de nouvelles (La Martinière, JC Lattès), il décide, après avoir animé plusieurs ateliers d’écriture en collèges et lycées, d’écrire un roman pour la jeunesse qui soit à la fois une ode au « métier d’historien » et une vulgarisation des recherches sur l’histoire de l’immigration.