Caroline Tosi
Caroline Tosi est née 4 minutes avant sa soeur, 4 ans après son grand frère. Vingt ans plus tard, le trio devenu le groupe Metallica fera trembler les Murs de l'appartement vandopérien. De ces années en appartement, Caroline a gardé quelques séquelles : le réflexe d'éviter les chambranles de portes, un goût prononcé pour le poisson pané et le couscous Garbit. L'amour de Caroline pour la nature et les histoires vient du temps passé dans le jardin de ville de sa grand-mère où les fleurs ne sont pas en plastique.
A l'âge de 20 ans, Caroline quitte la Lorraine, toujours plus à l'Est. Au bout du voyage, elle rencontre un pays qui l'envoûte, en forme de poisson, aux parfums de résine et d'épices. C'est le coup de foudre ! Caroline fera de la Roumanie son terrain de recherche en ethnologie. Son sujet d'étude ? .Le porc et ses usages alimentaires... Lorsqu'elle s'empare d'un crayon, Caroline devient Mademoiselle Myosotis.
Sur son blog, La Porte dans la pendule, elle partage avec ses visiteurs
Caroline Tosi est née 4 minutes avant sa soeur, 4 ans après son grand frère. Vingt ans plus tard, le trio devenu le groupe Metallica fera trembler les Murs de l'appartement vandopérien. De ces années en appartement, Caroline a gardé quelques séquelles : le réflexe d'éviter les chambranles de portes, un goût prononcé pour le poisson pané et le couscous Garbit. L'amour de Caroline pour la nature et les histoires vient du temps passé dans le jardin de ville de sa grand-mère où les fleurs ne sont pas en plastique.
A l'âge de 20 ans, Caroline quitte la Lorraine, toujours plus à l'Est. Au bout du voyage, elle rencontre un pays qui l'envoûte, en forme de poisson, aux parfums de résine et d'épices. C'est le coup de foudre ! Caroline fera de la Roumanie son terrain de recherche en ethnologie. Son sujet d'étude ? .Le porc et ses usages alimentaires... Lorsqu'elle s'empare d'un crayon, Caroline devient Mademoiselle Myosotis.
Sur son blog, La Porte dans la pendule, elle partage avec ses visiteurs les bûches qui crépitent, la polenta qui doucement fricote, les petites tasses, l'odeur de la prune flottant en nuage, les collines boisées des Carpates redevenues dragons, les grands-mères magiciennes filant la laine, les randonnées à cheval sur des sentiers bordés de roses et de mûriers... Dans son univers, la candeur est peut-être reine, mais les rêveurs y portent aussi souvent la couronne ! Il y a très peu de temps, Véronique Lagny Delatour était un reporter électron libre, c'est-à-dire sans attaches contractuelles ; ce qui est un luxe pour la liberté de mouvements et un handicap pour toute velléité de carrière.
Elle est toujours enseignante vacataire pour l'université de Metz et, le reste du temps, à la recherche de textes qui lui font ressentir des émotions. Il lui est nécessaire, voire vital, de partir à la rencontre de cultures différentes, de se faire raconter la vie ailleurs par des gens ordinaires, des gens sans importance, paraît-il. Abandonner pour des moments d'espace et de temps suspendus son armure mentale d'occidentale reste son plus grand plaisir, qu'elle souhaite vous faire partager à travers ces petits bouts de monde que sont les contes et les images d'ici ou d'ailleurs.