Marc Alaux
Marc Alaux a grandi dans les quartiers populaires du nord-est de Paris et déménagé au gré des mutations de son père officier de gendarmerie. Accompagner ses parents dans leurs séjours à travers le Bassin méditerranéen fait éclore très jeune chez lui un intérêt marqué pour l’histoire, dont la découverte devient aussi, outre un plaisir instructif, la fuite d’une réalité urbaine décourageante. Dès 16 ans, mettre à profit toutes ses vacances pour s’initier au monde du travail et participer à l’étude du passé sur une quinzaine de chantiers de fouilles se mue en obsession. Il passe ses étés à mettre au jour, dessiner puis photographier des vestiges, accomplir des relevés topographiques, assister des géologues et des géomètres. Durant l’année scolaire, il consacre ses soirées et week-ends à l’apprentissage d’un art martial japonais, le nin-jutsu auquel il s’initie durant sept ans et où il obtient une ceinture noire. Après un baccalauréat littéraire, il s’oriente vers des études d’archéologie
Marc Alaux a grandi dans les quartiers populaires du nord-est de Paris et déménagé au gré des mutations de son père officier de gendarmerie. Accompagner ses parents dans leurs séjours à travers le Bassin méditerranéen fait éclore très jeune chez lui un intérêt marqué pour l’histoire, dont la découverte devient aussi, outre un plaisir instructif, la fuite d’une réalité urbaine décourageante. Dès 16 ans, mettre à profit toutes ses vacances pour s’initier au monde du travail et participer à l’étude du passé sur une quinzaine de chantiers de fouilles se mue en obsession. Il passe ses étés à mettre au jour, dessiner puis photographier des vestiges, accomplir des relevés topographiques, assister des géologues et des géomètres. Durant l’année scolaire, il consacre ses soirées et week-ends à l’apprentissage d’un art martial japonais, le nin-jutsu auquel il s’initie durant sept ans et où il obtient une ceinture noire. Après un baccalauréat littéraire, il s’oriente vers des études d’archéologie. À ce titre, il effectue son service militaire dans l’équipe de fouilles du Service historique de l’armée de terre, au château de Vincennes. Il a l’occasion d’être responsable de sondages, chef d’équipe, coauteur d’un rapport de fouilles. Ayant décidé d’interrompre sa maîtrise sur les enceintes urbaines de l’Antiquité tardive en Gaule romaine, il occupe ensuite divers emplois pour rassembler les fonds nécessaires au voyage à travers la Mongolie qu’il projette.