Stéphanie Hurtubise
Née à Montréal, j’habite dans les Basses-Laurentides depuis une vingtaine d’années.
Enfant, j’avais plusieurs passions. J’aimais autant lire, dessiner et écrire, que manier des outils et jouer avec les chiffres. Je voulais devenir romancière, inventrice, enseignante, mais je n’arrivais pas à me décider.
Après avoir obtenu une maîtrise en ingénierie, j’ai œuvré dans les domaines de la recherche universitaire et de l’enseignement en génie industriel. Ma participation à la rédaction d’articles scientifiques m’a fait découvrir le plaisir d’écrire, si bien que j’ai profité de quelques mois de congé pour réaliser un de mes premiers rêves : composer un roman.
En 2002, j’ai envoyé pour une première fois mon manuscrit à un éditeur. Les commentaires étaient bons, mais ce n’était pas suffisant pour qu’il soit accepté. J’ai dû retravailler mon texte encore et encore. Après sept années de travail acharné, de soumissions refusées et de persévérance, j’ai soumis l’histoire d’Edwin Robi aux Éditions
Née à Montréal, j’habite dans les Basses-Laurentides depuis une vingtaine d’années.
Enfant, j’avais plusieurs passions. J’aimais autant lire, dessiner et écrire, que manier des outils et jouer avec les chiffres. Je voulais devenir romancière, inventrice, enseignante, mais je n’arrivais pas à me décider.
Après avoir obtenu une maîtrise en ingénierie, j’ai œuvré dans les domaines de la recherche universitaire et de l’enseignement en génie industriel. Ma participation à la rédaction d’articles scientifiques m’a fait découvrir le plaisir d’écrire, si bien que j’ai profité de quelques mois de congé pour réaliser un de mes premiers rêves : composer un roman.
En 2002, j’ai envoyé pour une première fois mon manuscrit à un éditeur. Les commentaires étaient bons, mais ce n’était pas suffisant pour qu’il soit accepté. J’ai dû retravailler mon texte encore et encore. Après sept années de travail acharné, de soumissions refusées et de persévérance, j’ai soumis l’histoire d’Edwin Robi aux Éditions Michel Quintin qui ont décidé de la publier.
À ce jour, j’ai lancé sept livres. Mon premier, «Les aventures d’Edwin Robi», se classe au rang des finalistes du prix grand public du Salon du livre de Montréal/La Presse 2011 et des finalistes du prix Tamarac 2012, il figure aussi parmi les romans en lice pour le prix jeunesse des univers parallèles 2012 et fait partie de la sélection 2011-2012 de Communication-Jeunesse.
Je me consacre maintenant à l’écriture.