Monsieur Crocodile a beaucoup faim

Je n’avais pas envie de m’arrêter de lire. J’aimerais beaucoup le lire encore et encore. Ce livre m’a donné envie de manger. La scène que j’ai le plus aimé, c’est quand il va dans les toilettes de la prison !

L’histoire et les illustrations sont comiques. Surtout quand le crocodile dit «  Salut les poupées ch’uis le génie des vécés ». L’histoire se rapproche de la réalité.

Les dialogues ne sont pas enrichis, mais au contraire courts et simples. Sur la couverture, les yeux du crocodile sortent de l’eau. Les illustrations de la jungle sont plus sombres que celles de la ville. Les traits ne sont pas bien tracés et ce n’est pas franchement colorié.
Le langage est souvent familier et l’histoire assez originale. Mais j’aurais aimé que dans la prison il ne rencontre pas tout de suite le père de la petite fille mais qu’il demande à un autre prisonnier. Puis qu’il aille voir les parents en cachette. J’aurais été captivée tout de suite.

Cet album se lit comme une BD : les dialogues, nombreux, sont dans des bulles. Le texte et les dialogues ont des caractères typographiques différents. Le crocodile s’exprime librement avec un ton assez direct. L’incipit annonce qu’il y aura beaucoup d’aventures.
Les illustrations sont souvent « gore ». Le rouge et le jaune sont les couleurs dominantes pour le sang. Elles apportent des précisions, des compléments au texte et peuvent aussi le répéter. J’ai ressenti un peu de peur et de joie. La petite fille lui dit que manger les humains n’est pas bien mais nous faisons la même chose avec les animaux. L’auteur montre que les humains sont « presque » des animaux.

Les personnages parlent dans des bulles. Le crocodile est rusé et gourmand. La petite fille gentille et aimable. Le cochon a l’air d’un dictateur. La tante de la petite fille boit et parle vulgairement. J’ai ressenti de la joie, de la tristesse et de la surprise. J’ai eu du plaisir à lire cet album car pour moi, dans ce livre, la vie est dure.

J’ai aimé car c’était écrit à moitié en bande dessinée, à moitié en texte. Il y a des moments un peu tristes et des personnages sympathiques.

Le crocodile est heureux, joyeux et malpoli. Pour moi, il est vulgaire ; il adore manger les gens mais a les mêmes sentiments que nous. L’auteur veut exprimer le comique et la tristesse. Son personnage est habillé comme nous. Ce livre m’a beaucoup plu.

Je trouve que l’auteur se moque beaucoup des êtres humains. Ce livre m’a tellement plu que je l’ai lu plusieurs fois. J’ai ressenti de la joie et de la surprise. J’ai été émue par le comportement du crocodile.
Il y a beaucoup de sang sur certaines pages. C’est une vie surréaliste ce mélange dans les illustrations. Certains moments sont « gore ».
Les dialogues sont courts et après chaque dialogue, l’auteur laisse passer un moment de silence, de la patience. Il joue avec les mots de manière très humoristique.

Certains personnages, comme le crocodile, sont comiques. D’autres ressemblent à leur prénom comme Blondine, la mère de la petite fille. Le langage est familier, ou vulgaire. Parfois c’est violent. Il y a des fautes d’orthographe : comme WC écrit vécé.
Cet album est un coup de cœur.

Ce livre m’a surpris quand le crocodile se moque de ce mangent les humains.

Je n’ai pas aimé cette histoire qui emploie des mots vulgaires, des couleurs sombres, du rouge pour le sang, qui montrent les os des gens. Il ne fait pas rêver comme « La girafe blanche » ou Cendrillon.

J’ai aimé cet album car il me rappelle les végétariens et tous les animaux qu’on mange dans des barquettes. Le crocodile présente chaque nourriture sous forme d’un animal cru : à cause de cette partie je n’ai plus envie de manger du saucisson !!
Peut-être que l’auteur veut qu’on devienne des végétariens ou qu’il veut dire que tuer les animaux et les manger c’est la même chose que les acheter au magasin.
Mr Crocodile est gourmand, cruel et parfois intelligent. La petite fille est très intelligente, mais parfois naïve.

Mr Crocodile se réveille avec la faim au ventre. Où trouver à manger ? En ville, il se régale et fait la connaissance d’une petite fille dont les parents sont en prison. Il les rejoint car il mange les gens la nuit et se fait attraper par la police. Les aidera-t-il ?
J’ai aimé le mélange BD et récit. Les mots sont faciles, le ton plutôt grossier.
On est tenté de lire que les dialogues mais on a besoin du récit. Quand on commence ce livre on a envie de lire la suite pour les actions et parce que c’est drôle.

Dans la jungle, un crocodile affamé ne trouve plus rien. Il décide d’aller en ville pour manger des humains mais rencontre une petite fille qui lui dit que ce n’est pas bien.
Sur la quatrième de couverture, avec juste un dessin Sfar explique en gros l’histoire : je trouve ça formidable. Ce livre était très drôle mais aussi très bizarre comme si le monde était complètement libre. Par exemple au supermarché, personne n’a peur ni est étonné qu’un crocodile soit là ! Les seules qui ont « tilté » sur la présence du crocodile étaient les prisonnières ! Yoann Sfar fait beaucoup de livres où il y a une petite fille, alors je dis qu’il donne raison aux enfants.

L’amitié entre le crocodile et la petite fille est très attachante car la fillette n’a pas peur et l’invite chez elle. Cette histoire m’a beaucoup plu car elle est irréaliste.
<br>Je la conseille à tous ceux qui aiment rêver.

Je crois que l’auteur a voulu nous dire que les animaux n’ont pas du tout la même façon de manger que nous. J’ai failli pleurer de rire car le crocodile se moquait un peu de nous. J’imaginais que mes parents rencontraient le crocodile…

J’ai aimé ce texte écrit avec beaucoup de mots familiers. Les illustrations sont un peu effrayantes, sans couleurs vives. Ce crocodile est astucieux, méchant, bête et menteur ! La petite fille est très gentille de l’accueillir chez elle ; ce stupide crocodile lui avait promis de ne manger personne. J’ai été dégoûtée de son attitude. J’ai beaucoup aimé les retrouvailles entre les parents et leur fille.

C’est un album avec les paroles des personnages dans des bulles, sans cases.
<br>Quand les animaux mangent des hommes, on les met en prison ; quand les hommes sont dans des supermarchés, ils achètent des animaux préparés à manger, et personne ne dit rien ! Cela se passe dans la jungle puis en ville. Un bon livre.

C’est pour son humour que j’apprécie cet album, qui a une morale : les hommes qui sont omnivores peuvent être amis avec un crocodile carnivore ! Cela m’impressionne beaucoup.

Monsieur Crocodile se réveille en ayant très faim. Un matin, il part en ville dans un bus où il rencontre une petite fille qui lui explique qu’en ville on ne mange pas les gens. Les parents de cette fille sont en prison. Elle l’invite à dormir chez sa tante alcoolique. Mais il mange encore des gens dans la rue. La police l’arrête. En prison, il délivre les parents de la petite fille.
Les illustrations ont vraiment le sens de l’humour, d’autres ont beaucoup de sang … C’est un beau roman d’amitié.

En regardant la couverture, on pense que cet album n’ est que pour les jeunes enfants, mais en réalité il est pour tout âge par le langage familier des personnages. On peut comprendre l’histoire juste en regardant les images. Elle est imaginaire et marrante.