Le club des voleurs de pianos (T. 2). Un concert dans le ciel

Tout commence quelques jours après la fin du tome 1 : nos amis du Club de voleurs de pianos sont réfugiés dans les combles de la gare d’Orsay, en plein centre de Paris, c’est beau, mais ils s’ennuient sec.
Alors, comme souvent quand on s’ennuie, ils font des bêtises.
Mary file la nuit, à l’anglaise et découvre les clubs de jazz de la bute Montmartre. Raoul ne va pas très loin, il mitonne de nuit quelques bons plats dans le restaurant de la gare. Andreï, réfugié sur le haut d’une pile du pont Alexandre III, regarde couler la Seine et songe à la Volga. Lucien installe un piano dans le grand hall de la gare Saint-Lazare et en joue dès qu'il le peut.
Quant à Ethy et John, ils bricolent avec l’aide de Eiffel. Ensemble ils ont modifié une locomotive, une Pacific 231 et comptent bien battre avec elle le record de vitesse sur rail.
Mais c'est sans compter sur la redoutable Anna et les sbires de Bronshült, qui ont décidé de se venger du club des voleurs de pianos.