Antonin Crenn vit et travaille à Paris. Il aime écrire à propos de silos à ciment, de tapisseries, de découpage administratif, de colonnes antiques et de désirs inavoués. Ses sujets de prédilection restent les châteaux forts, les ponts de chemin de fer, l’amour, et toutes les choses qui mettent plus de mille ans à disparaître.