Pierdomenico Bortune
Originaire des Pouilles, il vit et travaille à Neuchâtel comme professeur de langue et culture italienne. Ayant grandi à Lecce, il passe ses années d’université à Bologne, Paris et Turin où il obtient en 2018 une licence en Sciences Internationales. Passionné depuis toujours de musique et littérature, il découvre et explore dans la capitale française d’autres domaines artistiques comme le cinéma d’auteur, la peinture et la bande dessinée qui y jouit d’une considération remarquable. En 2021 il publie son premier récit - Il quadro - pour le recueil “Storie e figuri del Salento”; consacré à l’amour pour l’art et dédié à tous les jeunes italiens du sud qui nourrissent l’espoir d’un futur meilleur mais aussi d’une vie culturelle et artistique plus intense. Bien que vivant en Suisse depuis seulement deux ans, ses liens avec ce pays remontent au siècle passé quand Biagio, son grand-père paternel, était saisonnier à Lucerne pendant que sa femme Lucia élevait leurs trois enfants à Corsano (LE)
Originaire des Pouilles, il vit et travaille à Neuchâtel comme professeur de langue et culture italienne. Ayant grandi à Lecce, il passe ses années d’université à Bologne, Paris et Turin où il obtient en 2018 une licence en Sciences Internationales. Passionné depuis toujours de musique et littérature, il découvre et explore dans la capitale française d’autres domaines artistiques comme le cinéma d’auteur, la peinture et la bande dessinée qui y jouit d’une considération remarquable. En 2021 il publie son premier récit - Il quadro - pour le recueil “Storie e figuri del Salento”; consacré à l’amour pour l’art et dédié à tous les jeunes italiens du sud qui nourrissent l’espoir d’un futur meilleur mais aussi d’une vie culturelle et artistique plus intense. Bien que vivant en Suisse depuis seulement deux ans, ses liens avec ce pays remontent au siècle passé quand Biagio, son grand-père paternel, était saisonnier à Lucerne pendant que sa femme Lucia élevait leurs trois enfants à Corsano (LE). Ainsi que le raconte Tommaso, le fils aîné, père de l’auteur, “quand grand-père rentrait à la maison pour Noël, il ne défaisait même pas la valise, il y prenait son nécessaire et l’y rangeait tout de suite après”.