Etienne Delessert
Etienne Delessert est né le 4 janvier 1941 à Lausanne. De 1959 à 1974, il travaille comme graphiste publicitaire en Suisse, à Paris et à New York. En 1967, paraît son premier livre, "Sans fin la fête", chez Harlin Quist. En 1973, il fonde la société Carabosse à Lausanne, qui conçoit et réalise des dessins animés pour la télévision. En 1975, le Musée des Arts décoratifs de Paris lui a consacré une rétrospective. En 1977, il crée les Editions Tournesol, donnant ainsi la possibilité de création et de publication à de nombreux jeunes illustrateurs de Suisse romande.
Connu dans le monde entier, il a grandement contribué au renouvellement du livre de jeunesse. Son oeuvre a été couronnée par de très nombreux prix: Prix Européen 1976, Prix Graphique Bologne en 1981 et 1989, Plaquette d'or de la biennale de Bratislava en 1979, et bien d'autres encore.
Etienne Delessert a certainement été l'un des illustrateurs qui a le plus profondément renouvelé l'esthétique graphique de l'édition pour
Etienne Delessert est né le 4 janvier 1941 à Lausanne. De 1959 à 1974, il travaille comme graphiste publicitaire en Suisse, à Paris et à New York. En 1967, paraît son premier livre, "Sans fin la fête", chez Harlin Quist. En 1973, il fonde la société Carabosse à Lausanne, qui conçoit et réalise des dessins animés pour la télévision. En 1975, le Musée des Arts décoratifs de Paris lui a consacré une rétrospective. En 1977, il crée les Editions Tournesol, donnant ainsi la possibilité de création et de publication à de nombreux jeunes illustrateurs de Suisse romande.
Connu dans le monde entier, il a grandement contribué au renouvellement du livre de jeunesse. Son oeuvre a été couronnée par de très nombreux prix: Prix Européen 1976, Prix Graphique Bologne en 1981 et 1989, Plaquette d'or de la biennale de Bratislava en 1979, et bien d'autres encore.
Etienne Delessert a certainement été l'un des illustrateurs qui a le plus profondément renouvelé l'esthétique graphique de l'édition pour enfants. D'abord dans la presse, en France, vers 1970, avec le journal "Record", trop beau pour durer longtemps, mais qui a transformé le regard des concepteurs et des conseillers artistiques. La palette si personnelle d'Etienne Delessert et ses inventions d'un symbolisme jubilatoire, que ce soit dans Sans fin la fête ou dans les Contes de Ionesco, sont constamment un point de référence dans l'histoire contemporaine de l'illustration mondiale.